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Princesses des ténèbres

Ta chevelure d'un bleu argenté reflète ta peine.

Par ta grâce, tes pas éffleurent la pierre.

Ton regard perdu dans le vide,

Absorbe tout l'amour de l'univers.

Tu irradies, resplendissante de générosité.

Oui, saisis-toi de l'étoile du mystère

Tu attends que sonne la délivrance.

Ne te laisse pas envahir par le désarroi,

Eprouve cette douce sensation s'emparer de ton esprit.

Et appuie toi sur le mur de la purification

Malgré la douleur qui te submerge.

La blancheur incandescente de ta robe illumine la voûte astral.

Mais assise, assaillit par les songes de l'oubli,

Afin d'embrasser les rayons de l'espoir.

Tu essaies de reprendre confiance.

La lumière descend le long de ton corps,

Du creux de ta main surgit l'étincelle de la vie.

Entouré par une présence amoureuse,

Reposant sur le rocher de la flamme divine,

Libère ce chagrin assombrie par les larmes du désespoir

Car tu es hantée, envoutée par le froid de l'hiver.

Réfugie-toi dans la grotte, entourée des étincelles de la vie,

Mais protégée de toute part par tes amis,

Encore habitée par la mélancolie

Tu demeures calme, sereine dans l'attente de ta résurection.

Princesses des ténèbres 

 

Ta chevelure d'un bleu argenté reflète ta peine 

Tu effleures la pierre par ta grâce 

 les yeux perdus dans le vide 

tu attends que sonne la délivrance 

Ne te laisse pas envahir par le desarroi 

 

Éprouve cette douce sensation s'emparer de ton esprit 

Absorbe tout l'amour de l'univers 

Tu irradies, resplendissante de générosité

Oui, Saisie toi de l'étoile du mystère 

appui toi sur le mur de la purification 

 

Malgré la douleur qui te submerge

La blancheur incandescente de ta robe illumine la voûte astral 

Mais assise, assaillie par les songes de l'oublie 

Tu essaie de reprendre confiance 

la lumière descend le long de ton corps 

 

Afin d'embrasser les rayons de l'espoir 

Du creux de ta main surgit l'étincelle de la vie 

Car une présence t'entoures de son amour 

Reposant sur le rocher de la flamme divine 

Libere ce chagrin assombri par les larmes du désespoir

 

Car tu es hanté, envouter par le froid de l'hiver 

Refugie toi dans la grotte, entourer des etincelles de la vie

Encore habiter par la mélancolie 

Mais Protéger de toute part par tes  célestes amis 

Tu demeures calme, sereine dans l'attente d'une résurrection

 

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