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PENSER QUE L'ON EST FOU, N' EST-CE PAS LE DEBUT D'UNE RAISON SANS FAILLE ?

 

 

ACCEPTER L'INELUCTABLE, C'EST OFFRIR UN VRAI SENS A SA VIE

Rêve...

Le rêve, transposition de la réalité en particules éphémères ou règne le monde du sensible et de l’inaccessible vraie réalité . La réalité détruite par le monde de la perception ou le rêve en serait sa matière, sa conception. Le rêve emmené par le règne de l’imagination, ce dernier lui dictant sa voix. Le rêve phénomène imparfait, ou l’individu quelque soit ses origines, sa personnalité peut se réfugier, se blottir en ne craignant point d’être jugée. Le rêve étant lui-même parfois esclave de sa propre réalité, prolongation d’une vie, vide d’un non-sens existentiel. Rêvez pour aimer la réalité ou la fuir. Le rêve non-sens existentiel qui ne serait qu’une fantasmagorie à la recherche de lui-même, profitant d’un moment de faiblesse de la réalité pour lui substituer sa place et la confondre avec le monde réel, le monde vrai...

 

L'infini, source créatrice des incertitudes et de la vie

L’infini, gouffre de nos inconstances balayant d’un revers toute forme de sérénité. Fermer les yeux et se laisser tomber dans un univers déstabilisant empreint d’obscurité et d’incertitudes. L’infini interroge notre compréhension laissant libre cours à l’anxiété, et aux angoisses le soin de s’exprimer.  La porte s’ouvre sur le vide, un vide impossible à définir. Nous aimerions fuir, ne pas le laisser s’emparer de notre esprit et pourtant il est déjà trop tard, le «mal » est omniprésent et ne nous laisse que peu d’espoir, car il a fait de nous ses prisonniers, ses marionnettes. L’infini est partout et nulle part s’offrant à nos regards perdus et noyés par nos larmes. Impossible de le saisir, car il se sait invincible, indomptable, conforter par l’immensité de nos incertitudes. Subtilement, nos corps se recroquevillent sous la douleur lancinante que leur inflige cet inconnu qui est sans  cesse à  l’affût de nos faiblesses faisant de nous ses jouets. 

Et pourtant, en lui se cache notre résurrection, notre salut. Il nous prodigue les bienfaits de la peur en abondance, nous oblige à l’introspection en nous accordant sa confiance. L’infini, gouffre de l’inexistant et de l’inexistence  se veut avide de sens, car il « est » le sens et la vie. En lui se  dissimule l’impossibilité de la routine, d’une vie terne et sans fondements. De l’infiniment petit à l’infiniment grand, il nous faut explorer tous ces  recoins fantasmagoriques, car peut-être n’est-il qu’une perception imaginaire de notre conscience ? 

Passions artistiques

(Bruno Drouet)

BP 83794

56037 Vannes cedex

Tél: 07 83 91 82 41

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