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Peuple....gouvernement, et si la solution était ailleurs !

Le pouvoir d'achat, les taxes ne sont qu'un faux problème. La démolition de la planète par l'espèce humaine, même si elle est pure réalité, n'est qu'une stupide réponse du gouvernement au mal être de chacun. Une hypocrisie qui affirme  simplement une monarchie latente en mal de pouvoir. D'un côté, un peuple se cachant derrière des taxes alors que le pouvoir d'achat est en hausse face à un autre pouvoir qui prône le travail, mais avec un salaire de misère ne permettant pas ,dans certain cas, aux citoyens de vivre décemment. Au milieu de cette bataille, des policiers pris dans un étau subissant les ordres de l'un et la rage "non dissimulée " du second. Ces mêmes policiers qui sont intervenus récemment lors des attentats de Strasbourg pour défendre cette liberté tant prônée par la population.

Il ne s'agit en aucun cas de porter des jugements de valeur, ni sur le peuple ni sur le gouvernement mais de recentrer le débat, si tant est que ce soit possible. Si l'on essayait d'aborder "la bête sociale " sous un autre angle. Laissons de côté la démarche linéaire au profit d'une autre qui est en arborescence (si chère aux "HPI"). Celle-ci n'ayant de limites que sa propre réflexion et...... sa propre douleur.

Pourquoi ne pas reprendre le système politique de la Grèce antique où les décisions se prenaient lors de grandes réunions ,entre autres ,au sein de "l'agora" (la place publique). Une démocratie directe applicable sans recourir à des intermédiaires politiques. Toutes les classes sociales étaient représentées et s'exprimaient sans qu'il n'y est de censure. Pure utopie, me direz-vous ? Complètement irréalisable ! 

Alors bien sûr, impossible de l'appliquer à la lettre . Néanmoins, pourquoi ne pas l'adapter ? D'autant que nous possédons des outils. Osons tenter l'impossible, l'inconcevable, afin de remettre l'individu au centre des préoccupations de l'évolution sociologique et politique. Pourquoi ne pas " abattre" le système gouvernemental actuel au profit d'un autre plus égalitaire ? Donner la possibilité à chacun de s'exprimer via des référendums réguliers et cela en utilisant internet, ce qui aurait pour conséquence de réduire les dépenses gouvernementales et de pouvoir les redistribuer aux plus démunis. Eh oui ! Plus de président, de ministres , juste une assemblée constituée des différents corps sociaux chargés d'appliquer les résolutions des référendums nationaux . Une population qui ne pourrait qu'être entendue puisque les décisions seraient les siennes et cela quels que soient les "niveaux sociaux ". 

Pourquoi une démarche en arborescence ? Elle aurait l'avantage de prendre en considération l'ensemble des facteurs sociologiques et politiques tout en évitant le conflit ouvert par une réflexion menée de l'ensemble de la population, ce qui par ailleurs permettrait la transparence tant demandée par les citoyens. 

Ce que je viens de proposer ci-dessus demande évidemment un approfondissement du sujet, de longues recherches et mériterait une thèse. Ces quelques lignes ne sont qu'un éditorial et les élucubrations d'un citoyen lambda mais est-ce pour autant irréalisable...

 

 

 

Reconversion affective ?

L’amour de deux êtres enflammés par la passion de la jeunesse, peut-il subsister à notre quotidien ? Le divorce, mal sociétal, en constante évolution détruisant et produisant des « accidentés » de la vie. Des vies parfois perdues par l’émergence continue de la solitude ou de la douleur morale et affective, sévissent. Que de regards égarés dans le vide à la recherche d’une main fraternelle et bienfaisante ! 

Malgré la recrudescence des moyens de communication tel qu’internet avec ses réseaux sociaux (Facebook etc..), ces derniers ne semblent pas parvenir à enrayer ce fléau, voir mieux, il le renforce. Ce fléau reste conforté par l’égocentrisme, l’individualisme et le besoin matériel toujours insatisfait de chacun. Ne nous dirigeons-nous pas vers une forme de déchéance humaine ? L’être humain est-il aveugle au point de n’en rien voir ? Aurait-il sombré dans l’immensité d’une vie sans intérêt, un « vide de sens humain », influencé par une technologie toujours plus envahissante ?

Les divorcés, cette population en marge de la « norme » , ces gens solitaires aimant l’indépendance et l’existence d’une vie sans contrainte, semble pourtant souffrir en silence, se cachant derrière la vie trépidante « du parfait célibataire » libre de tout mouvement, qu’il soit affectif, sexuel et bien-sûr matériel. Enfin se pose-t-il les bonnes questions ? Leurs capacités d’analyse ne sont-elles pas altérées par des besoins superficiels, éternellement inassouvis ? N’y aurait-il pas une ou des peurs sous-jacentes ? Les peurs sous-jacentes des femmes sont-elles similaires à celles des hommes et comment s’expriment-elles ?

Selon l’individu et le sexe, les besoins affectifs et sexuels seront différents, l’homme étant souvent moins attaché aux affects et préférant, en apparence, une vie sexuelle débridée et donc « libre ». Quand aux femmes, elles aimeront mieux attendre leur futur et heureux élu, au risque de rester seule toute la fin de leur vie.

La peur accompagnée par un manque de confiance en soi et en l’autre, est un facteur d’état anxiogène qui empêche les nouvelles relations de se construire dans les meilleures conditions, ce qui se traduit par des échecs qui sont quelques fois récurrents. On peut ajouter des « exigences », voir de l’intolérance à accepter « l’autre » dans sa différence et dans ses propres particularités, l’avancée dans l’âge n’aidant pas. L’enfant est ou peut être la cause de situations conflictuelles si elles ne sont pas anticipées et bien gérées. En effet, il n’est pas toujours simple d’accepter les enfants du nouveau conjoint avec ce que tout cela peut comporter.

Le plus important, me semble t’il, est bien de se poser les bonnes questions ou...la bonne question, avant de s’engager de nouveau, et je parle bien d’engagement et non de relations légères sans lendemain, qui par essence, ne poseront en apparence aucune difficulté relationnelle puisqu’elle ne sera que consommation humaine.

 

 

 

Un quotient supérieur à la normal ?

Un quotient supérieur à la "normale", un don? ou la source d'un orgueil exacerbé , de vanité ou de prétention ?

Actuellement, on détecte très rapidement les enfants ayant des possibilités intellectuelles supérieure à la normale, ce qui n'était pas le cas auparavant car très souvent, ils étaient incompris, ignorés,  voir rejetés par le système éducatif ou pire par la cellule familiale.

Ce QI supérieur, d'où vient-il, comment naît-t'il et pourquoi est-il souvent sujet à des discussions ? S'opposerait-il à la connaissance? 

D'autre part, n'aurait-il pas des effets pervers allant à l'encontre de toutes formes de sagesse ?

Cette différence s'acquiert à la naissance sous la forme d'un potentiel sans qu'il y est intervention humaine, où elle trouve également sa source quelques fois dans l'hérédité, pour ensuite se cacher dans les méandres du cortex cérébral à l'abri de tout regard, de toute conscience.

Une détection dans le tissu social offre très souvent l'opportunité d'aider ces enfants mais peut aussi engendrer des effets pervers à plus ou moins long terme. En effet, le fait de mettre en exergue ce don, cette faculté précieuse peut de la part de l'intéressé lui faire croire qu'il est supérieur, ce qui est loin d'être le cas, bien au contraire. Faire preuve d'orgueil, de prétention, de vanité, est-ce là la preuve d'une intelligence dite supérieure? Cela touchant toutes les tranches d'âge.

Un individu ne peut se glorifier de posséder un QI supérieur même si c'est le cas, car ce n'est qu'une prédisposition et rien d'autre. Si l'individu n'est pas éduqué, il deviendra le sujet de véritables discordes et rejets pouvant aller jusqu'à des comportements déviants, l'autre étant considéré comme un être inférieur pour lui.

Afin d'éviter ce genre d'écueil, ce "don" se doit d'être dompté, aidé, et supervisé par la connaissance savante qui, elle seule, saura l'orienter vers la voie de la sagesse. 

 

 

 

La philosophie

La philosophie apporte des questions récurrentes revenant régulièrement à l’ordre du jour, que sont les objets ainsi que les moyens d’action pratiques et réalistes de cette philosophie ?

En effet, que favorise-elle? Est-elle pure abstraction ou peut-on l’exploiter au quotidien concrètement et comment ?

Est-elle en mesure de répondre aux interrogations de chacun, d’être une aide efficace aux problématiques existentielles du citoyen?

Qu’est-ce que la philosophie

Définition du Larousse

« Ensemble de conceptions portant sur les principes des êtres et des choses, sur le rôle de l'homme dans l'univers, sur Dieu, sur l'histoire et, de façon générale, sur tous les grands problèmes de la métaphysique. »

À cela, j’ajouterais qu’elle peut être un outil ou une méthode efficace pour se poser les bonnes questions afin d’éviter « l’ouverture » à une réflexion restrictive et non-objective, ce point est sa réalisation instrumentale.

D’autre part, est-ce réellement important de lui attribuer une définition? Ne doit-on pas plutôt la personnaliser, l’adapter pour ensuite la conceptualiser en art de vivre aidé par la volonté, un art de vivre finalisé par une façon d’être « naturelle » .

La philosophie regroupe un ensemble de domaines dans lesquels elle intervient et excelle par la remise en question constante d'affirmations ou de certitudes ainsi que par l'élaboration de nouvelles doctrines, de façons de penser, afin de comprendre s'il existe une vérité, qu’elle soit universelle ou non..

La philosophie n'a donc pas à mon sens, de limite sauf celle qu'on lui impose.

À quoi sert-elle ?

Plusieurs possibilités et quelques « utilisations » :

  • La recherche personnelle en vue de répondre à certaines interrogations, par exemple, l'individu face à la mort, l'existence, etc..

  • « Régler » une problématique individuelle voir intime 

  • L’acquisition de nouvelles connaissances

  • La transmission de messages qu'ils soient d'ordre culturel, politique...

  • Comme outil pédagogique par l’assimilation et la compréhension des différentes doctrines afin d'acquérir une démarche didactique 

  • Par pure passion 

Est-elle réduite à l’abstraction ou peut-on l’utiliser au quotidien concrètement et comment ?

La philosophie de par son essence même oblige à la réflexion qui en est son moteur. Il lui faut s'astreindre à une certaine rigueur pour éviter les conversations stériles sans fondement. 

Il lui faut aussi se projeter et s’engager pour aller vers une concrétisation de ses analyses, car que serait la philosophie sans une application au quotidien.

Dans le circuit scolaire, elle devra être aidée par une pédagogie adaptée en fonction du public concerné. 

Ces quelques lignes ne sont qu’une vision très limitée et non-exhaustive de ce qu’est la philosophie, mais elles permettent, néanmoins, d’ouvrir le débat.

 

 

 

Triangulation démoniaque

Nous pensons et agissons tout au long de notre existence, et pour ce faire, plusieurs paramètres vont intervenir afin de réguler notre conduite quotidienne dans le but d'établir un équilibre, équilibre allant vers une éventuelle perfection, notre "perfection".

La personnalité, l'intelligence et la culture générale ou spécialisée en sont les protagonistes principaux. Cette personnalité regroupe les traits de caractère tel que la sympathie, l'altruisme etc.). L'intelligence représentée par le quotient intellectuel et enfin la culture générale ou spécialisée est souvent acquise par les actions éducatives parentales et scolaires renforcées par l'expérience professionnelle ou par des activités ludiques exercées dans le milieu privé durant toute notre vie. Je rappelle à cet effet que le QI est selon moi, un potentiel inné, donc acquis dès la naissance qui ne peut s'affranchir que sous l'effet d'un apprentissage strict et objectif, aidé par une conscientisation de ses probables "capacités ".

Mais comment ces différents éléments interagissent entres eux, comment s'harmonisent-t'ils? L'un peut-il compenser la faiblesse de l'autre? Et surtout, sur quels critères doit-on se fonder pour qu'un être humain soit reconnu dans notre société, qu'il se définisse lui-même comme sain de corps et d'esprit , ceci en tenant compte uniquement de ces trois éléments ?

Les composants de cette triangulation se doivent eux-mêmes de posséder leur propre stabilité afin de ne pas influencer une possible déstructuration de cet ensemble, cela avant ou après sa constitution. Il existe beaucoup d'interactions possibles produisant des individus complètement différents. En premier lieu, la personnalité, constituée de ces traits de caractère multiples et communiquant eux-mêmes entre eux, peut former à elle seule un individu, sans oublier d'y intégrer "le monde des affects" et relationnel la constituant, ces derniers étant prépondérant dans son fonctionnement général.

La culture s'évalue à des niveaux différents en fonction de chacun, sa spécificité étant également importante car elle est valorisée ou non en fonction de son contenu et des valeurs sociétales. Certaines sciences comme la physique ou les mathématiques dites intellectuelles, ne sont-elles pas plus "appréciées " que les domaines pratiques tels que les métiers manuels ? Exemple un peu extrême et probablement mal choisi mais tellement vrai.

Il est très compliqué de déterminer s'il y a équilibre ou non entres les trois "protagonistes" car il serait souhaitable, afin d'éviter tout déraisonnement, de créer un outil d'évaluation ce qui serait à mon sens très aléatoire et subjectif.

Chose évidente, c'est en fonction du degré d'élévation de chacun d'entre eux et de cette triangulation active que je qualifierai de démoniaque, un individu qui en sera complètement différent dans sa "conception" et tout en étant équilibré...ou non.

 

 

 

Education parentale, où es-tu ?

Incivilité, impolitesse, adolescents en manque de repères professionnels et privés, une éducation nationale obligée de remédier aux fragilités éducatives,et surtout, des adultes qui prônent "l'enfant roi" déléguant à l'entourage proche ou non, la responsabilité de poser les limites très importantes pour la construction psychologique de l'enfant.

Comment peut-on accepter ces dérives comportementales et pire, les valoriser au nom d'une éducation libre et soi-disant responsable ? Des élèves qui remettent en cause les professionnels de l'enseignement, qui ne respectent rien, où la toute puissance du jeune est reine encouragée par des parents complètement laxistes, prenant "leur progéniture " pour des propriétés privées.

Des jeunes incapables d'élaborer des choix professionnels cohérents , devant pour certains, répondre aux désirs refoulés parentaux. 

Je suis également parent et je souhaite, comme tous que mon enfant réussisse dans sa vie privée et professionnelle, mais est-ce l'aider que tout accepter ? de ne pas lui dire non lorsque cela s'avère nécessaire et cela, quelque soit son âge ?

Interrogeons nous sur les notions de valeur et de morale, car elles sont les bases d'une éducation accomplie, d'un adulte réellement autonome et bien sûr, responsable

 

 

 

L'être ou l'être humain 

L'être humain rassemblant un ensemble de qualités, de défauts agissant pour son bien propre et celui d'autrui. L'être en tant qu'absolu, responsable de ses actes et surtout de ses pensées à la recherche de l'éternelle vérité en se détachant des apparences et donc du monde sensible. Ou serait-il l'un et l'autre lié par un mouvement perpétuel ,continu ,s'opposant mutuellement par l'interaction de leurs oppositions ?

L'être se posant la question de son existence, de son appartenance au monde réel. Alors que le second envahit par son semblant d'humanisme, pensant détenir le savoir essaye de le faire valoir dans le monde tangible, absorbé par une réflexion superficielle et sans retour.

L'être humain prisonnier de son corps, de ses sentiments ne peut qu'être qu'un reflet de lui même. Sont-ils tous deux inscrits dans une forme dualité?

Vouloir se détacher de son corps est pure utopie car il est notre moi, notre réalité que nous devons accepter et non assumer, dans le but, si nous le souhaitons, accéder à l'être, à l'esprit "raisonnable".

L'être peut dans ce cas laisser libre cours à ses pensées méditatives et s'interroger sur ses origines afin de mieux se comprendre

 

 

 

​L'homme !

Orgueil, prétention, vanité, serait-ce l'apanage et les seules "qualités" de l'homme, sous-entendu l'homme au masculin, les femmes étant à mon avis moins centrées sur leurs nombrils.

Que de discours passionnels ou le "moi" est mis en avant, exhibant son arrogance.

Pourquoi les hommes ont-ils des difficultés à prendre du recul, de la distance par rapport à leurs idées, leurs affirmations ? Qu'ont-ils à prouver, à faire valoir ? 

Que d'exemples au quotidien, que ce soit dans le monde professionnel ou dans la vie privée, entres hommes,ou entres les hommes et les femmes, ou ces derniers essayent d'afficher leurs pauvres supériorités. 

Messieurs, vous possédez de belles qualités mais également de grands défauts que sont l'orgueil, la vanité et la prétention pour ne citer que ceux-là.

On ne mesure pas la valeur d'un individu à la grosseur de son penis ou de son cerveau.

Il vous faut descendre de votre piédestal d'homme supérieur et apprendre ce qu'est l'humilité, la tolérance, en l'occurrence avec le monde féminin ou, même entre vous.

Même si bien sûr, je ne peux faire une généralité de ces quelques propos, on ne peut que constater cette misérable réalité ou tous les secteurs sont touchés par ce fléau, y compris et surtout le monde politique..Agir, proposer une aide est rare et peu en sont capable car l'intérêt personnel est souvent présent et prioritaire.

 

 

 

L'éducation national, source de savoir ?

L'éducation nationale, belle institution dévouée corps et âme à la cause du savoir, se proposed'instruire la jeunesse du pays afin de les préparer à la "vie active".

Pourtant, que d'échecs constatés, que de professeurs incompétents ou mal formés souvent imbus de leurs "savoirs", pensant posséder la connaissance et le droit de jugement.

Préparer les élèves à devenir des adultes responsables demande de réelles compétences pédagogiques, un savoir-être, un savoir-faire ainsi qu'un système scolaire adapté aux capacités de nos chers bambins.

L'éducation nationale, serait-elle devenue une institution rétrograde ou la pensée et la réflexion n'ont plus lieu d'être, une institution sclérosée par son passé et son incapacité à réformer, repenser son système éducatif.

Ou sont les enseignants motivés et passionnés par leur travail souvent plus préoccupés par leurs prochaines vacances et leurs arrêts maladies? 

Je pourrais, bien sûr, développer et argumenter mes propos, mais est-ce nécessaire et surtout cela en vaut-il la peine?

 

 

 

Les connaissances littéraires en philosophie

Beaucoup de philosophes ou professeurs de philosophie revendiquent haut et fort qu'il est important de maîtriser des connaissances littéraires philosophiques. Or , est-il possible de réfléchir ou de "philosopher" sans y avoir recours? Cette connaissance n'induirait t'elle pas la réflexion, "le jugement"?

Si l'on s'en réfère aux discours valorisant la dialectique, et donc la recherche d'une certaine vérité, alors dans ce cas, je pense que non.

Une pensée libre, non influencée me semble primordial, sous réserve que notre "penseur" ose s'aventurer sur les vrais chemins du savoir. Pourquoi devoir adhérer à des courants, des doctrines ?  N'est-ce pas là une forme de dogmatisme?

En revanche , la connaissance peut aider à mieux définir ou délimiter les idées, à mieux les comprendre, mais il sera nécessaire d'être rigoureux, attentif à ses ressentis, en se demandant s'ils ont lieu d'être dans l'exposé.

Beaucoup de sites internet fleurissent  sur la toile dont je ne remets pas en cause le bien fondé du contenu et encore moins le sérieux de ses concepteurs mais il existe peu de personnes qui s'impliquent dans une réflexion entièrement personnelle les engageant, car beaucoup préfèrent s'appuyer ou mieux, imiter et reproduire les doctrines existantes.

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